La Transjurasienne, encore une fois, aura fait couler beaucoup d'encre cette année. Jamais encore elle n'avait fait couler autant... d'eau potable. Pour ceux qui n'ont pas été au jus, faute de neige sur la partie basse du parcours, l'organisation a décidé de créer de la neige artificielle, comme on a maintenant l'habitude d'en voir sur les pistes de descente, et où ça ne choque pas tant d'ailleurs. Bémol important, une fois les réservoirs des pistes de descente vidés, on a du taper dans leur quota d'eau... potable. Quant au grand tétras et au biotope, c'est une tout autre histoire, qui nous a permis de croiser les champions dans la descente de la Frasse. Mais revenons à la course, fort bien organisée au demeurant.
Le "lâché" des concurrents au compte goutte dès le départ a permis de limiter les bouchons. Pour les premières lignes au moins.
Le "lâché" des concurrents au compte goutte dès le départ a permis de limiter les bouchons. Pour les premières lignes au moins.
La TransOrg a eu du nez cette année sur la couleur du bonnet, qui sied merveilleusement bien à ce concurrent :)